Moi, c’est Léon, le cadet de l’entreprise, et je me fais un plaisir de le rappeler à certains. Quand je me suis rendu compte que le design n’était pas pour moi, ou plutôt que je n’étais pas fait pour le design, je me suis tourné vers le développement. Mais, même si je ne pourrais pas faire un dessin pour me sauver la vie, les connaissances théoriques que j’ai acquises dans ce domaine me permettent de travailler avec toute une équipe de personnes très qualifiées. Petit, je voulais être réalisateur. J’ai grandi avec YouTube, et faire de la vidéo a toujours été une de mes activités préférées. C’est donc avec un logiciel de montage que j’ai commencé à apprendre à utiliser des outils complexes.
Voir le portfolioMes compétences en développement, associées à ma formation en design et en communication web, font de moi un bon chef d’orchestre pour assurer le bon déroulement d’un projet. Je gère les emplois du temps, je fais les premières analyses du projet et je serai votre interlocuteur principal une fois que notre travail aura démarré. Du point de vue de l’équipe, je suis « le mec chiant » à qui on doit rendre des comptes. Le premier message qu’ils reçoivent dans la journée vient généralement de moi. Quand on devient développeur, on devient efficace, bien que certains diront fainéant. On est prêt à passer deux fois plus de temps à créer un outil qui nous évite de faire des tâches répétitives. Alors, quand quelque chose peut être automatisé, je cherche des solutions et je développe ce qui permet à l’équipe d’aller plus vite.
Le principal avantage de parler anglais, c’est d’avoir accès à beaucoup plus de contenu sur internet. Mais bon, savoir apprécier le thé, le cheddar et la gelée, c’est un gros plus aussi.
Après la fin de mes études en 2019, j’ai décidé de prendre une année pour vivre différentes expériences. Mais, à cause d’un certain virus, je l’ai finalement passée confiné dans un appartement à développer de petits projets et à jouer à des jeux. Heureusement, un parent a lancé une entreprise au même moment et avait besoin d’aide, ce qui m’a permis de rester occupé.
J’ai lu Le Silmarillion en anglais, du coup. Mais peu importe la langue, il ne me reste plus qu’à le relire : je n’ai pas compris grand-chose.
@prism'2024